Nice

 

LES MOTS DITS



La guerre ! Le président dans son discours a donné le ton. Les médias ont pris le relais pour enfoncer le clou.
Goebbels, ministre de l’éducation du peuple et de la propagande du troisième Reich, disait : « plus le mensonge est gros plus il passe. » Rien n’a changé, on ne modifie pas une bonne recette. Je note que cette entreprise de conditionnement dure depuis longtemps. Guerre contre le sida, contre le cancer, guerre de civilisation (11 septembre), contre l’islamisme et le terrorisme…


Répéter six fois nous sommes en guerre, n’est pas anodin. Il y a des mots de propagande et celui-ci en est un. C’est connu, le mot guerre a pour effet la sidération. Au niveau du baromètre du comportement ça donne : hébété, muet de stupeur (Conscient/Ressentiment) et (dans Subconscient/Chagrin et culpabilité) : battu, défait, ruiné, anéanti, à bout de ressources, et au final, non choix (Corps), là le niveau ultime est atteint en passant par incurable et Abandon de soi. Voilà dans l’instant, l’impact d’un simple mot. Imaginez si d’autres mots avaient été prononcés, s’il y avait eu tout un discours…


Ensuite par rapport au comportement du gouvernement, on nous parle d’indécision, d’impréparation, etc.  Pourquoi pas… Quand même, rappelons-nous que Roseline Bachelot, alors ministre de la santé au moment de la grippe H1N1, avait demandé que l’on stocke des masques et que l’on ait des tests à disposition… et tout le monde politique a rigolé… alors, pourquoi pas…
Comment la gesticulation du gouvernement, le tango ordre contre-ordre… peut-il bien nous impacter ? Après le Baromètre du comportement, voyons ça sous l’angle des fonctions cérébrales :

  1. Système d’activation réticulaire : il est sensé trier les informations et mettre en relief celles qui sont importantes. Compliqué dans cette situation.
  2. Capacité à faire confiance : encore une fois difficile devant tant de contradictions.
  3. Capacité à répondre : quelle est la réponse juste, appropriée, devant cette valse-hésitation.
  4. Voies de récompense cérébrales : la biochimie du cerveau doit être en surchauffe.
  5. Compréhension : c’est incompréhensible.
  6. Capacité de récupération : exténués.
  7. Prise de conscience : très peu, voire aucune.
  8. Imagination : négative, la guerre, la mort.
  9. Apprentissage et mémoire : que comprendre à tout ça, quelle leçon ?

Comment ça perturbant ! Et vous pouvez trouver plein d’autres ressentis. Je vous laisse imaginer (Fonction cérébrale 8)…

On peut élargir et voire de manière plus globale avec le Modèle de la réalité. Les trois côtés sont bien sûr touchés, de même que l’énergie. Mais l’axe prioritaire reste la peur. La peur de la maladie virale et potentiellement la peur de la mort. Vous savez bien que la peur affecte le système immunitaire, mais aussi réduit notre capacité de réflexion, ça rend crétin. Quant à la croyance en un méchant virus qui nous guette pour nous attaquer, l’impact est directement sur le physique, le corps. Tous malades ! Les habitudes (surtout émotionnelles, mais aussi de penser) maintiennent et renforcent tout cela.

Voilà, c’était juste un petit tour d’horizon de quelques outils de kinésiologie, en regard de la situation actuelle.

En ce dimanche de Pâques que nous soyons croyants ou pas, notre inconscient collectif sait que c’est le jour de la résurrection. Oui, la résurrection christique. Voilà un joli mot, résurrection, (trois fois…) synonyme de renaissance, surtout quand il est associé à l’amour inconditionnel. Est-ce que l’amour va renaitre ?
Que l’oiseau de feu, le phénix qui sommeillait en vous renaisse de ses cendres pour s’envoler de ses propres ailes et accomplir des miracles kinésiologiques emplis d’amour

Joyeuses Pâques
Toujours confiné à Menton le 12/04/2020
Alain Risi

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